Trajiste tu óbolo?
Entonces ahora saborea la dulce mortalidad de sus dulces aguas. Aunque desprecio el regalo de tu torpe sonrisa llena de ignorancia. Ahora impulso mi triste barca por el Éstige hacia la valiosa prostituta que has llamado redención.
Ya habrás de descubrir que su insípido placer eclipsa la poderosa verdad. En este sueño los elementales se regocijan en su propio dolor danzando sobre los túmulos de la soberbia. Las ásperas tumbas se levantan incómodas sobre el tierno silencio de la noche. Salpicadas de las lágrimas de aquel dios de los mortales. Bajo el suave líquido multicolor de la inspiración se levanta el degenerativo aceite de lo superficial. Morfeo encarna el deseo de perdón escondido en las cavernas de nuestra locura. Solo para comprender que lo nauseabundo del excremento alrededor, valida nuestra existencia como las mariposas de la luna.
Aquél día me entregue a mi propia capacidad de desilusión. Solo para poder entender la naturaleza del misericordioso pecado de la vida. Deucalión y Pirra se encargaron de concederme esta prisión. Anatema de amargura. Insomnio de dulzura.
Recuerda cuando la gracia de lo divino pereció en la sombra de la realidad.
Recuerda como aquel niño lleno de odio se convirtió en la nota del último acorde de aquella triste canción.
Recuerda que la aflicción de lo tangible se evaporó con una simple mirada de tu dama.
Piedad! Los enemigos de la sabiduría se agrupan para vengar su indescifrable dolor en el alma.
La Letanía del castigo refleja su vago rayo de aurora en el ausente espacio entre la piel y mi espíritu.
Acaso has perdido tu, la aféresis de tus sentimientos?
Acaso nunca las has tenido?
Juntos conquistemos el sonido de la duda. Arrasemos con la debilidad, entreguemos esta despreciable decadencia.
Desintegrémonos en la distancia de nuestras ilusiones.
Emulemos al poderoso rey de los reyes.
Cantemos acerca de los ingenuos cadáveres de la soledad.
Juguemos una última partida de ajedrez con la noble Señora Muerte.
Hablemos de las mutilaciones de nuestros personajes escondidos, que al encontrar la apatía de los vivos cederán su exilio a los cangrejos de la navidad. Sedientos de las palabras del olvido, solo encuentran un simple eco del relegado himno de Mnemosine.
Y en la armonía de la tragedia poética del corazón de los hijos de Abraxas descansa la tristeza que alimenta el fantasmagórico apetito de la prolongación del sufrimiento.
Una Mariposa disfrazada de pulpo y una máscara de niño.
Una Mariposa disfrazada de gato y una máscara de humano.
…and a bag of Jellybeans.
http://www.flickr.com/photos/65355304@N00/435124516/
Let's draw diagrams of suicide on each other's wrists, then trace them with razorblades.
lundi 26 mars 2007
mardi 20 mars 2007
Zuker Blüt
The anomalies that born from evolution,
A negative form of destruction.
The stained marble floor reflects the innocent grain quenching the thirst from a bitter farewell, and the promise of sweeter return.
My oblivion it’s to remember the ocarina lies, and speak of shadows riding colors in the midnight sun.
Slugs melting my skin tracing the patterns of sorrow, while butterflies incarnate the nightmares from the lost paradises.
Beginning the oubliette’s redemption I cancel the superfluous strict power of Cain’s father in order to become a swallow with blades instead of feathers that cut and wound the hearts of human race as the wings flutter.
The sky has never been so lonely,
I’m not afraid from the gorgon’s deadly feast.
As my insides are spilled from above; my friends would restore my body and claim vendetta across the red sky.
“This is just bull shit” He says.
It’s just the way he thoughts he thinks
“Candy Rocks”
A Juan Carlos Barragán (The Cat With Snake's Skin)
A negative form of destruction.
The stained marble floor reflects the innocent grain quenching the thirst from a bitter farewell, and the promise of sweeter return.
My oblivion it’s to remember the ocarina lies, and speak of shadows riding colors in the midnight sun.
Slugs melting my skin tracing the patterns of sorrow, while butterflies incarnate the nightmares from the lost paradises.
Beginning the oubliette’s redemption I cancel the superfluous strict power of Cain’s father in order to become a swallow with blades instead of feathers that cut and wound the hearts of human race as the wings flutter.
The sky has never been so lonely,
I’m not afraid from the gorgon’s deadly feast.
As my insides are spilled from above; my friends would restore my body and claim vendetta across the red sky.
“This is just bull shit” He says.
It’s just the way he thoughts he thinks
“Candy Rocks”
A Juan Carlos Barragán (The Cat With Snake's Skin)
The Static Astroboy
The sweet taste of her cacophony, my supposed angst, my supposed lover.
A ravenous kiss expose my numb heart, my mechanical heart, my artificial heart. Wheter to laugh at me or mercy me.
El débil encuentro con su miserable insatisfacción, traza las delgadas líneas de su absurda situación.
El débil llanto se consuma para eliminar mi deseo, mientras el hermoso lamento de mi muerte desvanece su perfume.
The Turbine fueled from my pain. The Jet of Hope. The Wing Nut fixed to my chest.
The Screwdriver piercing this synthetic skin.
Hex key: Honey bee's Pharynx
Phillips: Piero's Vomit over crufcifixes.
Pozidriv: La lumière du Raccoon.
Robertson: A sugar Cube bathed in Absinthe.
Slotted: Wingless Dragonfly
Spanner: Your Eyes.
Torq-Set: Tetragammaton.
Torx: With Her Artficial night.
Tri-Wing: The Aborted Triplets.
Another Kiss, Another Scar.
PalindromemordnilaP
A ravenous kiss expose my numb heart, my mechanical heart, my artificial heart. Wheter to laugh at me or mercy me.
El débil encuentro con su miserable insatisfacción, traza las delgadas líneas de su absurda situación.
El débil llanto se consuma para eliminar mi deseo, mientras el hermoso lamento de mi muerte desvanece su perfume.
The Turbine fueled from my pain. The Jet of Hope. The Wing Nut fixed to my chest.
The Screwdriver piercing this synthetic skin.
Hex key: Honey bee's Pharynx
Phillips: Piero's Vomit over crufcifixes.
Pozidriv: La lumière du Raccoon.
Robertson: A sugar Cube bathed in Absinthe.
Slotted: Wingless Dragonfly
Spanner: Your Eyes.
Torq-Set: Tetragammaton.
Torx: With Her Artficial night.
Tri-Wing: The Aborted Triplets.
Another Kiss, Another Scar.
PalindromemordnilaP
mercredi 7 mars 2007
This Time Imperfect
Ce Temps Imparfait.
Je suis attrapé dans t'horloge d’arène. Grain après grain, je continue à contempler la nuit artificielle. La désintégration affligeante de son propre univers est réflexion de sa propre réalité.
Telle réalité que je trouve de plus en plus organique et elle m’a fait douter de sa beauté inhumaine.
J'aime ma destruction imméritée, mais aussi je déteste sa sensation
Croire en l’inévitable de sa rencontre est la seule chose qui renforce mon désir de bonheur futile et réprime l'espoir de votre absence.
Avec chaque grain, je suis proche pour tomber, où la nécessité devient décision et la désillusion dans cri ou la femme d’arène. Leurs mots misérables ont traversé le seuil de mon encouragement, il détruit mon illusion et édite ma pauvreté.
J'ai manqué quand je savais ma propre fatalité, quand a évité mon humanité, quand a éclairé mon coeur, quand a éteint ma réflexion. J'ai fait face à ce désir irrésistible de porter votre masque de verre. Juste à temps pour apaise votre concupiscence.
Le cristallin de ses traits ne paraît pas qu'il évite son existence, et en excuse il ressort du ridicule de ma propre matière.
Je ne porterai pas encore votre masque, ce masque que vous détestez aimer, ce masque qui vous aimez détester.
Je caresse le son sucré de leur découverte des morceaux fragile leur fin qui entre en collision avec vos mains. Je ferai gracieux la solitude qui m'a été donnée sans élection. Je soulèverai un morceau de verre du sol et tracerai mes diagrammes du suicide sur notre poignets. Alors je chercherai vos baisers dans le noir avec vos yeux comme guides de mon misérable sentiment. Alors la faiblesse sera simplement banalité, et l'espoir périra.
La promesse désespérée de votre rencontre revigore mon aspiration d'un nouveau soir.
La nécessité indéniable de l'arrivée du soleil me fait penser au moment de son affliger au revoir et mon retour victorieux. Je n'ai pas besoin de caresser encore la souffrance. Je le veux. Je veux aimer dix mille années de douleur en échange de vos baisers, souffrir des cicatrices d'agonie éternelle pour un coup d'oeil, supporter une vallée de larmes pour votre sourire.
Et quand le dernier grain d’arène chutes,
Seul je veux juste votre présence; seulement j'attends juste votre appel.
“I cannot leave here, I cannot stay
Forever haunted, more than afraid
Asphyxiate on words I would say
I'm drawn to a blackened sky as I turn blue” D.H.
Je suis attrapé dans t'horloge d’arène. Grain après grain, je continue à contempler la nuit artificielle. La désintégration affligeante de son propre univers est réflexion de sa propre réalité.
Telle réalité que je trouve de plus en plus organique et elle m’a fait douter de sa beauté inhumaine.
J'aime ma destruction imméritée, mais aussi je déteste sa sensation
Croire en l’inévitable de sa rencontre est la seule chose qui renforce mon désir de bonheur futile et réprime l'espoir de votre absence.
Avec chaque grain, je suis proche pour tomber, où la nécessité devient décision et la désillusion dans cri ou la femme d’arène. Leurs mots misérables ont traversé le seuil de mon encouragement, il détruit mon illusion et édite ma pauvreté.
J'ai manqué quand je savais ma propre fatalité, quand a évité mon humanité, quand a éclairé mon coeur, quand a éteint ma réflexion. J'ai fait face à ce désir irrésistible de porter votre masque de verre. Juste à temps pour apaise votre concupiscence.
Le cristallin de ses traits ne paraît pas qu'il évite son existence, et en excuse il ressort du ridicule de ma propre matière.
Je ne porterai pas encore votre masque, ce masque que vous détestez aimer, ce masque qui vous aimez détester.
Je caresse le son sucré de leur découverte des morceaux fragile leur fin qui entre en collision avec vos mains. Je ferai gracieux la solitude qui m'a été donnée sans élection. Je soulèverai un morceau de verre du sol et tracerai mes diagrammes du suicide sur notre poignets. Alors je chercherai vos baisers dans le noir avec vos yeux comme guides de mon misérable sentiment. Alors la faiblesse sera simplement banalité, et l'espoir périra.
La promesse désespérée de votre rencontre revigore mon aspiration d'un nouveau soir.
La nécessité indéniable de l'arrivée du soleil me fait penser au moment de son affliger au revoir et mon retour victorieux. Je n'ai pas besoin de caresser encore la souffrance. Je le veux. Je veux aimer dix mille années de douleur en échange de vos baisers, souffrir des cicatrices d'agonie éternelle pour un coup d'oeil, supporter une vallée de larmes pour votre sourire.
Et quand le dernier grain d’arène chutes,
Seul je veux juste votre présence; seulement j'attends juste votre appel.
“I cannot leave here, I cannot stay
Forever haunted, more than afraid
Asphyxiate on words I would say
I'm drawn to a blackened sky as I turn blue” D.H.
mardi 13 février 2007
I've just finished my Everlasting Gobstopper!
I usually can't remember my dreams.
I talk to Jesus in my last dream remembered, he was a postcard of a drunken hippie, when I asked him about god this is what he told me :
Rocking Horsefly: So. Jesus right?. Does god exists indeed?
Jesus: "mmmmmmm" (he doubt it a LOT) "yeah?" he claims (like asking a question though).
Rocking Horsefly: Well now that god exists, which one of the religions or deities or whatever is the "real" one?
Jesus: "mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm"
COCK-A-DOODLE-DOO
A Gummi Bear attempting to reach a milligram honeycomb.
HMMM. He doesn't know the paper bees are drawn with gold and uranium charcoal pencils.
Sting Sting Sting
There goes the gummi bear running towards the sapphire river.
Nicholas Flamel used his famous Hoax
to turn him into Gold
The paper bees are dodged,
but the tummy its now gone.
A partial broken technicolor brushed gecko egg. Fig1.
Fig1.The priamary stratagem to recreate a philosopher's stone.
It's frustrating when you finish it.
I talk to Jesus in my last dream remembered, he was a postcard of a drunken hippie, when I asked him about god this is what he told me :
Rocking Horsefly: So. Jesus right?. Does god exists indeed?
Jesus: "mmmmmmm" (he doubt it a LOT) "yeah?" he claims (like asking a question though).
Rocking Horsefly: Well now that god exists, which one of the religions or deities or whatever is the "real" one?
Jesus: "mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm"
COCK-A-DOODLE-DOO
A Gummi Bear attempting to reach a milligram honeycomb.
HMMM. He doesn't know the paper bees are drawn with gold and uranium charcoal pencils.
Sting Sting Sting
There goes the gummi bear running towards the sapphire river.
Nicholas Flamel used his famous Hoax
to turn him into Gold
The paper bees are dodged,
but the tummy its now gone.
A partial broken technicolor brushed gecko egg. Fig1.
Fig1.The priamary stratagem to recreate a philosopher's stone.
It's frustrating when you finish it.
mercredi 7 février 2007
-Dissection of a Ghostwriter's Ulnar Nerve-
Reclaim the access, purify the heart, dismiss your idol and Breathe in sequences.
Follow me, follow you. Let’s start:
Inhale:
Surplus ice cream appendages growing over wild gummy animals.
Exhale:
Gooey rainbows and chocolate fishes jumping towards the sun.
Inhale:
Jet-black winged rabbits tasting hoary snowflakes.
Exhale:
Bittersweet chords and cotton candy feathers.
Inhale:
Amputated damselflies and amber silhouette nightmares.
Exhale:
Jelly poison vipers and a parasite lament’s echoes.
Inhale:
Narwhale excrement crosses and mental stingrays trespassing our ribcage.
Exhale:
Pine Car freshener’s smell and cut up toes nailed in a crucifix made out of its trunk.
Inhale:
A vampire's fat skin and sparkling luciferin volumetric stars.
Exhale:
Porphyria fireflies and Bethlehem raped sharp carpels.
Inhale:
Oedema diaphragm balloons carrying 4 Siamese ferrets and a magenta polar bear.
Exhale:
The fallacy of vicarious dreams where a Boa constrictor digests an Elephant.
Breathe in:
A rapturous romance between a teal colored honeybee and a giant floating rock called TSUKI.
Breath out:
The Human Body.
Follow me, follow you. Let’s start:
Inhale:
Surplus ice cream appendages growing over wild gummy animals.
Exhale:
Gooey rainbows and chocolate fishes jumping towards the sun.
Inhale:
Jet-black winged rabbits tasting hoary snowflakes.
Exhale:
Bittersweet chords and cotton candy feathers.
Inhale:
Amputated damselflies and amber silhouette nightmares.
Exhale:
Jelly poison vipers and a parasite lament’s echoes.
Inhale:
Narwhale excrement crosses and mental stingrays trespassing our ribcage.
Exhale:
Pine Car freshener’s smell and cut up toes nailed in a crucifix made out of its trunk.
Inhale:
A vampire's fat skin and sparkling luciferin volumetric stars.
Exhale:
Porphyria fireflies and Bethlehem raped sharp carpels.
Inhale:
Oedema diaphragm balloons carrying 4 Siamese ferrets and a magenta polar bear.
Exhale:
The fallacy of vicarious dreams where a Boa constrictor digests an Elephant.
Breathe in:
A rapturous romance between a teal colored honeybee and a giant floating rock called TSUKI.
Breath out:
The Human Body.
lundi 5 février 2007
~ Carnis Traditio ~
Senderos inexplicables sujetan el paso de las luciérnagas. A pesar de su falta de extremidades, siempre están ansiosas de oscuridad. En la amargura de su ausencia encuentro ridículos los movimientos circulares que describen la posición de su motricidad atrofiada y su innegable ímpetu por deshacerse del pecado de Leviatán.
El entendimiento encapsula la condena y refresca el desenfreno de la procreación injustificada. La relación de intimidad es solo la prueba del desenfreno lujurioso, insípido, graso y afligido de la realidad.
Necesidad?
Quien decidió que el abrazo del deseo acariciara mis mas profundos pensamientos?
Yo revelo su autentica falta de apetito, mientras me alejo me despido, mientras caigo alzo vuelo, mientras tanto…
…estoy dormido.
Ahora entiendes porque estoy muerto? Y entiendes que no solo la carne descompuesta evidencia su llegada. Fallecí el día en que nací, gracias a la prudencia de mi bienhechora.
Ahora solo encuentras el cuerpo.
Después hallaras su sangre.
El entendimiento encapsula la condena y refresca el desenfreno de la procreación injustificada. La relación de intimidad es solo la prueba del desenfreno lujurioso, insípido, graso y afligido de la realidad.
Necesidad?
Quien decidió que el abrazo del deseo acariciara mis mas profundos pensamientos?
Yo revelo su autentica falta de apetito, mientras me alejo me despido, mientras caigo alzo vuelo, mientras tanto…
…estoy dormido.
Ahora entiendes porque estoy muerto? Y entiendes que no solo la carne descompuesta evidencia su llegada. Fallecí el día en que nací, gracias a la prudencia de mi bienhechora.
Ahora solo encuentras el cuerpo.
Después hallaras su sangre.
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