mercredi 7 mars 2007

This Time Imperfect

Ce Temps Imparfait.

Je suis attrapé dans t'horloge d’arène. Grain après grain, je continue à contempler la nuit artificielle. La désintégration affligeante de son propre univers est réflexion de sa propre réalité.
Telle réalité que je trouve de plus en plus organique et elle m’a fait douter de sa beauté inhumaine.
J'aime ma destruction imméritée, mais aussi je déteste sa sensation
Croire en l’inévitable de sa rencontre est la seule chose qui renforce mon désir de bonheur futile et réprime l'espoir de votre absence.
Avec chaque grain, je suis proche pour tomber, où la nécessité devient décision et la désillusion dans cri ou la femme d’arène. Leurs mots misérables ont traversé le seuil de mon encouragement, il détruit mon illusion et édite ma pauvreté.
J'ai manqué quand je savais ma propre fatalité, quand a évité mon humanité, quand a éclairé mon coeur, quand a éteint ma réflexion. J'ai fait face à ce désir irrésistible de porter votre masque de verre. Juste à temps pour apaise votre concupiscence.
Le cristallin de ses traits ne paraît pas qu'il évite son existence, et en excuse il ressort du ridicule de ma propre matière.
Je ne porterai pas encore votre masque, ce masque que vous détestez aimer, ce masque qui vous aimez détester.
Je caresse le son sucré de leur découverte des morceaux fragile leur fin qui entre en collision avec vos mains. Je ferai gracieux la solitude qui m'a été donnée sans élection. Je soulèverai un morceau de verre du sol et tracerai mes diagrammes du suicide sur notre poignets. Alors je chercherai vos baisers dans le noir avec vos yeux comme guides de mon misérable sentiment. Alors la faiblesse sera simplement banalité, et l'espoir périra.

La promesse désespérée de votre rencontre revigore mon aspiration d'un nouveau soir.
La nécessité indéniable de l'arrivée du soleil me fait penser au moment de son affliger au revoir et mon retour victorieux. Je n'ai pas besoin de caresser encore la souffrance. Je le veux. Je veux aimer dix mille années de douleur en échange de vos baisers, souffrir des cicatrices d'agonie éternelle pour un coup d'oeil, supporter une vallée de larmes pour votre sourire.

Et quand le dernier grain d’arène chutes,
Seul je veux juste votre présence; seulement j'attends juste votre appel.


“I cannot leave here, I cannot stay
Forever haunted, more than afraid
Asphyxiate on words I would say
I'm drawn to a blackened sky as I turn blue” D.H.

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